Tu dois voir ça, non ? Pervertium, c’est comme le site pour adultes dont ta mère t’a mis en garde. Il y a une section avec plus de 7 000 clips anaux, et laisse-moi te dire que c’est dans les vidéos old school avec des problèmes audio que ça se passe vraiment. Accroche-toi bien, parce que ça devient encore plus bizarre, je te promets que tu ne regarderas plus jamais le scat ou les artefacts audio de la même façon.
Pervertium.com est comme une ruelle sombre d’Internet dans laquelle vous vous engagez après avoir laissé votre curiosité l’emporter sur votre bon sens en matière de GPS. Je vous le dis, dès que vous cliquez sur les mèmes automatiques de bruit blanc que vous avez probablement enregistrés dans vos favoris pendant que l’écran de votre ordinateur portable vérifie votre identité, vous êtes embarqué dans un train fou à destination de Kinksville.
Voici le truc : cet endroit est un véritable festival de porno, un paradis gratuit rempli d’actes très extrêmes, un univers à part entière, un véritable trou noir de dépravation avec ses 41 000 clips.
Il y a du pisse à gogo, et même si le terme « sports nautiques » peut évoquer des images de glissades ludiques, ce n’est pas ça, mon pote.
C’est plutôt des douches dorées pour noyer ta curiosité sexuelle.
Il n’y a pas de « tag scat » répertorié, mais rassure-toi, le site est un véritable nid à vidéos scat, ou comme je l’appelle, « Kinky Toilet Town ».
Franchement, l’organisation de leur page Catégories m’a vraiment époustouflé ; elle est tellement bien conçue qu’on pourrait croire que leur navigation est lubrifiée avec le même produit que celui qui satisfait les fanatiques de fisting.
Pas d’index interminable qui vous plonge dans une angoisse existentielle, juste de petites doses de perversions, plus de 7 000 clips consacrés au trou du cul si vous êtes amateur d’analargaia.
Ça ne grandit pas aussi vite, mais les mises à jour quotidiennes de nouvelles perversités font vibrer les e-fuckers.
Et mec, j’ai regardé un vieux porno trash appelé « En Smuk Tysk Pige Knepper Sin Kaereste », c’est en gros du porno ancien avec des artefacts audio, comme si la vidéo et le son devenaient bizarres ensemble.
Pourtant, l’enthousiasme est intemporel, et c’est indéniablement excitant.
Plus bas dans la barre latérale, j’ai trouvé une route encore plus bizarre et peu fréquentée : une fille emo en train de se fister.
Elle porte ces chaussures hautes de strip-teaseuse, les jambes en l’air, son passage lubrifié préféré vous fixant du regard, criant : « Regarde mon rouge à lèvres noir et mon autre ouverture sombre ! »
On dirait une invitation à la fête, non ?